Juin aura été un mois d’intense procrastination, d’absence de motivation. Mais ma vie bolivienne semble avoir repris du poil de la bête lors des derniers jours. Le désir de faire ce pourquoi je suis ici m’est réapparu en force. Et j’ai de nouveau le goût d’écrire. Je vous dois plusieurs histoires (El gran poder, la San Juan, le congrès d’ethnohistoire), et je me mettrai là-dessus en fin de semaine, à mon retour à La Paz, promis. À bientôt.
J'ai hâte.
RépondreSupprimerCool!
RépondreSupprimerJ'ai hâte de te lire!
Profites bien du temps avec François!
Audrey
xxx