lundi 28 mars 2011

En attendant


Les réflexions, constats, états d’âmes et de corps se bousculent en moi. Conséquences sans doute d’une solitude au milieu d’un bol d’histoire à près de 4000 mètres d’altitude… Je saurai structurer tout cela quand mon pouls descendra sous les 90 au repos et que mon rhume sera finalement écarté.

En attendant, je découvre de plus en plus les joies d’un appareil photo numérique. J’ai hypothéqué hier mes derniers globules rouges pour aller me promener dans des coins de La Paz que je ne connaissais pas encore – ou dont je ne me rappelais plus. C’est d’ailleurs la première fois de ma vie, je crois, que je suis courbaturé après avoir marché à peine quelques heures en ville. Je vous transmets donc quelques clichés pris d’où j’ai surtaxé mes érythrocytes...




...ainsi que quelques images de la force néocolonisatrice qui s’abat sur la Bolivie (et l’Amérique latine en générale).






 
Beaucoup d’art urbain et de lieux de mémoire s’entrechoquent dans les parcs et sur les murs de La Paz, de manière souvent contradictoire. Je vous promets un billet là-dessus. En attendant, petit souvenir mural de la dictature.



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